La conduite d'un véhicule et l'alcool forment une inégalité. Comme on le dit : Boire ou conduire, il faut choisir !
Il est considéré parmi les causes majeurs de mortalité sur la route, plus que 80% des accidents routières mortels sont liées à l'alcool au volent, et même avec des petites doses, il a des effets immédiates sur le corps et le cerveau du consommateur, ce qui rend la conduite et le contrôle du véhicule difficile ou même impossible.
Sous l’effet de l’alcool, et sans être conscient du danger de ses actes, le conducteur se sent capable de tout faire et d'affronter tous les risques. Avec une proportion de 0,5g d'alcool dans le sang d'un conducteur, le contrôle du véhicule devient plus difficile.
Par l'obligation de la loi, pour conduire son véhicule sur la voie publique, le conducteur doit impérativement souscrire une assurance auto.
Ce contrat a pour but de garantir les droits des personnes touchées, contre tout les dommages causés par le véhicule d'un conducteur, et sans cette souscription, le conducteur n'aura pas le droit de circuler sur la voie publique.
Nombreux sont les facteurs d'exacerbation qui permettent aux compagnies de procéder à la résiliation du contrat, donc la privation de l'assuré de conduire. L'alcool est considéré comme un motif majeur, qui permet aux assureurs de résilier définitivement la couverture, ou de procéder à une majoration de la cotisation, sans oublier, la suspension ou le retrait du permis du conducteur.
Selon la loi, il est strictement interdit de conduire un véhicule avec une proportion de 0,5g d'alcool dans le corps d'un conducteur, sinon il sera condamner à payer une amende ainsi qu'un retrait de quelques points de son permis de conduire, ou son annulation.
En cas d'ivresse, si le conducteur cause des dommages matériels ou corporels, il risque 5 ans de prison et jusqu'à 9500€ d'amende, sans oublier bien sur un retrait de 6 points de son permis, et la soustraction de son véhicule.
Sinon, si les dommages causés inclus le décès, alors le conducteur risque 7 ans de prison, avec une amende qui peut arriver jusqu'à 100.000€, et une annulation de son permis de conduire.
Les sanctions ne s’arrêtent pas là, les compagnies, en cas d'une conduite à alcool, imposent aux conducteurs des condamnations et des sanctions dont les majeures sont :
En cas d'accident sous l'effet d'alcool, les assureurs procèdent par une majoration de prime que le conducteur doit impérativement payer pour garder son contrat d'assurance.
Parmi les sanctions qu'un assureur peut imposer à un conducteur conduit en cas d'ivresse, la suspension de toutes les garanties complémentaires fournis par les assureurs lors de la souscription du contrat.
Cette sanction est considérée la plus tragique dans le scénario des sanctions. Apres la résiliation de son contrat, le conducteur doit retrouver et re-souscrire à un nouveau contrat, avant un mois et surtout avant qu'il soit inscrit au registre des conducteurs résiliés.
Sur le marché actuel, il existe des contrats d'assurance auto élaborés par des compagnies, qui sont destinés à tous les assurés qui ont été résiliés pour une alcoolémie.
Ces contrats sont considérés comme un avantage pour les conducteurs victimes d'un cas pareil, afin de retrouver à nouveau la conduite de leurs véhicules sur la voix publique, et de gagner à nouveau la confiance des compagnies.
Le seul inconvénient de ces contrats est le tarif, car les assureurs considèrent ces clients comme des assurés à risque, et donc, ils imposent des majorations tarifaires.
Pour trouver un contrat d'assurance auto, après une résiliation de ce type, le conducteur doit toujours utiliser un Comparateur Assurance Auto, qui lui permet d'avoir toutes les informations souhaitées gratuitement, rapidement, en ligne, et de trouver l'offre la moins cher, et qui lui apporte une solution à sa situation.